#ÉcrivainsFrançais
Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha… Sur notre épaule, comme Pour dire que le temps ne va rien…
Mais toi, mais le désert ! étends… Tes nappes ténébreuses. Insinue dans ce coeur pour qu’il n… Ton silence comme une cause làbule… Viens.
L’été passa violent dans les salle… Ses yeux étaient aveugles, son fla… Il cria, et l’appel bouleversa le… De ceux qui dormaient là au simple… Ils frémirent.
C’est la dernière neige de la sais… La neige de printemps, la plus hab… Avant qu’on ne l’emporte puis le b… C’est la première neige de ta vie Puisque, hier, ce n’étaient encore…
Quelle maison veux-tu dresser pour… Quelle écriture noire quand vient… J’ai reculé longtemps devant tes s… Tu m’as chassée de toute densité. Mais voici que la nuit incessante…
L’oiseau des ruines se dégage de l… Il nidifie dans la pierre grise au… Il a Franchi toute douleur, toute mémoi… Il ne sait plus ce qu’est demain d…
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Il rêva qu’il ouvrait les yeux, su… Qui approchaient du port, silencie… Encore, feux éteints ; mais doublé… D’une ombre où foisonnait la futur… Puis il se réveilla.
Vous qui vous êtes effacés sur son… Qui avez refermé sur elle vos chem… Impassibles garants que Douve même morte Sera lumière encore n’étant rien.
Le soir, Ges oiseaux qui se parlent, indéfi… Qui se mordent, lumière. La main qui a bougé sur le flanc d… Nous sommes immobiles depuis longt…
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Tu vieillissais dans les plis De la grisaille divine. Qui est venu, d*une lampe. Empourprer ton horizon nu ? L’enfant sans hâte ni bruit
Glisse la barque étroite aux deux… Qui respirent l’un près de l’autre… De rien, dans l’immobilité, qu’un… À l’aube le courant va plus rapide… La barre qu’on n’entend pas de nui…
Il v avait un couloir au fond du j… Je ic’vais que j’allais dans ce co… La mort venait avec ses Heurs hautes flétries. Je rêvais que je lui prenais ce bo…