#ÉcrivainsFrançais
Le lit, la vitre auprès, la vallée… La magnifique rapidité de ces nuag… La griffe de la pluie sur la vitre… Comme si le néant paraphait le mon… Dans mon rêve d’hier
Toute douceur toute ironie se rass… Poui un adieu de cristal et de bru… Les coups profonds du 1er taisaien… La lumière du glaive s’était voilé… Je célèbre la voix mêlée de couleu…
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
La foudre– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha…
Vous qui vous êtes effacés sur son… Qui avez refermé sur elle vos chem… Impassibles garants que Douve même morte Sera lumière encore n’étant rien.
Chemins, parmi La matière des arbres. Dieux, parmi Les touffes de ce chant inlassable… Et tout ton sang voûté sous une ma…
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
Le pays du début d’octobre n’avait… Qui ne se déchirât dans l’herbe, e… En venaient à des cris d’absence e… Sur un haut flanc courbé qui se hâ… Ma parole du soir,
Le mot ronce, dis-tu ? Je me souviens De ces barques échouées dans le va… Que traînent les enfants les matin… Avec des cris de joie dans les fla…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…
Nous sommes revenus à notre origin… Ce fut le lieu de l’évidence, mais… Les fenêtres mêlaient trop de lumi… Les escaliers gravissaient trop d’… Qui sont des arches qui s’effondre…
Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha… Sur notre épaule, comme Pour dire que le temps ne va rien…
Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…
Regarde-les là-bas, à ce carrefour… Qui semblent hésiter puis qui repa… L’enfant court devant eux, ils ont… En de grandes brassées pour les qu… Ces fleurs d’à travers champs qui…