Le livre de l’amie (1866)
#ÉcrivainsFrançais
Elles seraient la nacre au bord de… Si les nacres avaient ces humaines… Elles seraient le rose et le satin… Si les roses vivaient aux barreaux… Il semble qu’une fée, en de lointa…
Les cieux ont la clarté solide du… Pas d’air. Sous les rocs nus dont… La mer dort aujourd’hui, brûlante… Ainsi qu’une coulée épaisse de mét… On n’entend que le son triste et c…
Son désordre était charmant : On eût dit beaucoup de fées Dans un tourbillonnement Légères et décoiffées. Seule, elle, faisait cela ;
Je ne vois pas tes yeux, mais je v… Tout ton être respire un grand air… A te sentir si fraîche en ta calme… Chavette ému tressaille, et Monse… Ta rondeur savoureuse aux poètes i…
Une source descend de la roche bru… Les filles de Plomar viennent lav… Aux coups vifs des battoirs se mêl… Que fait le flot, et c’est une for… Comme devant l’autel sur la dalle…
A l’éclat du soleil j’aime à brûle… Je bois une liqueur arrière mais c… Et j’aime, dangereuse et triste po… A méditer la vie et l’histoire des… Je cherche comment l’homme osa fai…
Comme elle était si jeune et qu’el… Comme elle avait la peau si blanch… Je me laissai mener, docile, par l… D’engourdir ma rancœur sur sa poit… Son regard où dormait la volupté p…
Derrière le treillis du passage à… Les filles de Strasbourg composen… Pour Marchai, gai bouquet de figu… Elles portent le court jupon de co… Et la coiffe ancienne aux larges n…
La ligne impérieuse et fauve de la… Change d’aspect, et forme au-dessu… Un golfe harmonieux de verdure. D… Court un parfum mêlé d’algues et d… Des barques de pêcheurs semblent e…
Quand le travail s’arrête et quand… L’obscur logis s’éclaire et la vit… Vers l’âtre où le souci des mères… Elles pressent le pas et hâtent le… Le court fichu de laine alourdit l…
C’est la terre sans fleurs de pour… Le champ dur qui nourrit les bras… Septembre dans le ciel a mis sa pâ… Et le soir au couchant se lit en u… L’heure qui vient n’a pas de fantô…
En plein air, sur l’estrade en pla… Aux sons du cuivre aigu faussant l… Pendant que les buveurs trinquent… L’hercule fait saillir les muscles… Ses deux bras sont croisés dans le…
Sur l’Alpe étincelante et haute Le soleil tombe et se répand. Le chemin enlace à mi-côte La montagne comme un serpent. Ainsi que dans une revue
Que fais-tu là, chère attendue ? L’ennui fâcheux vient-il souvent Rendre à ton doux esprit rêvant Une longue visite indue ? Fais-tu des voyages charmants
Hier, en vous voyant, je me suis r… Que j’ai fait un bouquet au temps… Des roses, des yeux bleus, des pom… Un bouquet d’Arlequin, mince et b… Hier, en vous voyant, madame, il m…