Le livre de l’amie (1866)
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Malingres, laids, tendant de longs… Le corps cerclé de linge et les pi… A deux pas des maisons, sans espac… Les petits arbres vont en bandes a… Ils sont libres de croître aux pla…
Avec ses longs cheveux bouclés, co… L’enfant était assise au milieu du… Et le cœur saluait ce petit être p… Parmi les majestés du grand été su… La petite causait gravement avec l…
Ô salubre et fécond engrais des tr… Ferment mystérieux des sèves étern… Nous te composerons, pourritures c… Sous les gazons plus verts pêle-mê… Quand nous aurons dormi, rigides e…
Dans la forêt mouillée et verte, Comme deux rudes compagnons, Nous allions à la découverte Cueillir au loin des champignons. Nous n’y connaissions pas grand ch…
Comme pâlit la joue au baiser de l… Une invisible lèvre a touché la pe… Aux chevilles ; le sang glorieux l… Sans que leur neige en soit moins… Voici qu’un peu plus haut le divin…
Aux deux rives de l’eau, paysage t… Sur la berge encaissée où leur amp… Des arbres, dont le tronc au sol r… Agitent leurs rameaux sans feuille… Des percherons trapus tirent du co…
Quand on est heureux, on n’a pas d… On se cache, on s’aime à l’ombre,… Rien de glorieux, pas de fait noto… Le monde oublié ne vous connaît pa… Si quelqu’un pourtant, avec un sou…
A travers le réseau des branches q… Trace avec la vigueur des dessins… La lune, comme un feu qui dans le… Montait, luisant au bord du bois c… Tu manquais à mon bras, mignonne,…
Nous nous rencontrerons Quelquefois par la ville, Et nous cous salûrons D’une façon civile. Un souvenir tout bas
Te souviens-tu de ce matin d’hiver… De la dernière et chère promenade… Il faisait beau, le soleil était c… C’était un temps d’heureux ou de m… C’était aussi notre pays charmant,
Ses yeux, tout un printemps, éclai… Je marchais ébloui, la tenant par… Elle était le rayon, l’étoile du c… Et tant qu’elle a brillé sur moi,… Ainsi mes jours passaient sans but…
Le disque glorieux tombant dans le… Éclabousse d’éclairs le mur de la… Il semble que dans l’air apaisé to… Et que la mer farouche endorme son… La vague, avec un son mélancolique…
Sur l’Alpe étincelante et haute Le soleil tombe et se répand. Le chemin enlace à mi-côte La montagne comme un serpent. Ainsi que dans une revue
C’était le bruit de sa bottine A travers ce que je rêvais, Ou sa tête penchée et fine Près de mon front, quand j’écrivai… Elle fit ce manège d’ange
Les étoiles ne me sont rien, Et je ne saurais rien leur dire. Un même éclat qui les vaut bien Fait ton regard et ton sourire. Ceux qui, niant un bien réel,