Le cœur solitaire (1896)
#XIXeSiècle #XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Aie une âme hautaine et sonore et… Tais-toi, mure ton seuil, car la l… Forge en sceptre l’or lourd et rou… Ferme ton cœur à la rumeur soûle d… Entends parmi le son des flûtes pu…
Ce soir après la pluie est doux ;… Si doux qu’on en voudrait pleurer,… Qu’on fuit tout défaillant la péno… C’est un soir de septembre un peu… De dimanche, et c’est l’heure ou c…
Vous, le charme et l’honneur de mo… Enfant qui secouez dans les herbes… Pour en faire tomber des bêtes de… Le parasol blanc des ciguës ; Vous qui vivez, naïf et frais, tou…
J’imagine souvent ta maison ; je t… Usant dans le devoir une âme encor… Je reconnais ton bruit de pas j’en… Tendre et grave donner un ordre à… Ce soir, le jeune avril te gagne à…
L’automne fait gronder ses grandes… Et célèbre le deuil des soleils ré… L’avare automne entasse aux rebord… Les vols de feuilles d’or que flag… Stérile et glacial reliquaire où s…
Aime : la bouche aimée est savoure… Et ton amante nue est un rosier ve… Mais sache que le miel enivre de s… La cétoine, émeraude amoureuse des… La gloire te sourit en aïeule ridé…
Tu sommeilles ; je vois tes yeux s… Ta gorge, ainsi deux beaux ramiers… Se soulève et s’abaisse au gré de… Tu t’abandonnes, lasse et nue et t… Et ta chair amoureuse est rose de…
Ah ! ce bruit affreux de la vie ! Et que dormir serait meilleur Dans la terre où le caillou crie Sous la bêche du fossoyeur ! Le soleil a toute ma haine ;
J’ai dans l’âtre encore vide et sé… Des lettres où l’amour mentait, de… Hier âme odorante et gloire de l’é… Et d’anciens vers écrits jadis ave… Le feu, d’un arc subit, a décoché…
Ma fenêtre était large ouverte sur… La maison reposant autour de moi s… J’écrivais, douloureux poète d’élé… A la clarté dansante et douce des… Un souffle d’air chargé des parfum…
Encore un peu ta bouche en pleurs,… Tes mains contre mon cœur et ta vo… Demeure ainsi longtemps, délicieus… Auprès de moi, ma pauvre enfant, c… Les formes du jardin se fondent da…
Souvent, le front posé sur tes gen… Plus faible que ton cœur amoureux,… Et ma main qui frémit en recevant… Se dérobe aux baisers de feu dont… « Mais, dis-tu, cher petit enfant,…
Stériles nuits d’hiver où ton âme… Haineuse et lâche, éparse au vent,… Fuyant l’âtre où les chats obséqui… Et le thé musical et blond des rêv… Dans la rue où l’impur amour chuch…
Le ciel pâlit, la terre humide et… Respire. Messager du matin, le ve… Agite faiblement la vigne sur le m… Et d’une main timide entr’ouvre ma… Une lueur d’argent lustre l’herbe…
Octobre à son manteau d’azur fourr… Arbore ce matin les joyaux de l’hi… Le ruisseau fume, un fin brouillar… Le jardin blanc miroite au soleil,… Et chatoie et ses fils de perles s…