#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Pierrot tu jactes bien et, verts c… Tes sacrés nom de dieu de Bons Dieux ont la touche Qui chante à ma mousmée.
Une ourse fit son entrée dans la v… Elle marchait pesamment Et des gouttes d’eau brillaient da… Comme des diamants. Elle marcha méconnue,
La fleur du Mois de Mai fleurira dans trois jours Et Marie aux yeux gais avouera son am…
Ta vie est sacrée et ta personne frappe d’épouvante les meurtriers. Le tabou est sur toi, le tabou est sur nous, car nous avons ravivé les anciennes coutumes et les usages préhistorique...
Le matin s’écroule comme une pile… En milliers de tessons de porcelai… Et de cailloux Et de cascades Jusque sur le zinc de ce bistrot t…
Quel bruit étrange glissait le long de la rampe d’escalier au bas de laquelle rêvait la pomme transparente. Vergers étaient clos et le sphinx bien loin de là s’étirait dans le sable cra...
En descendant des collines au prin… A l’heure où la rosée brille dans… Au bruit lointain du fer battu dan… Au miroitement du jour dans l’eau… En descendant des collines au prin…
Quel sera, monstre, mon supplice ? Déjà, dérisoire, ton nom Devient mot d’amour et complice De ma honte et de notre union. J’adopterai, d’abord, la pose
Le chemin sur lequel je cours Ne sera pas le même quand je ferai… J’ai beau le suivre tout droit Il me ramène à un autre endroit Je tourne en rond mais le ciel cha…
Ils se rencontrent à minuit Ils s’embrassent en silence Ils s’étreignent jusqu’au matin. Tout le jour passe et la suivante… Et le jour suivant tout pareil
Au détour du sentier dans la monta… La carcasse du mulet mort l’autre… Sous la charge trop lourde qu’il p… Achève de blanchir sous le soleil… Le parfum du thym et le bourdonnem…
La créole qui danse Encore à minuit dansera jusqu’à l’aurore jusqu’à midi et jusqu’à l’autre nu… Les seins bandés
t’apporte une petite algue qui se mêlait à l’écume Mais tes cheveux sont mieux nattés que les nuages avec le vent avec les rougeurs célestes et tels avec des frémissements de vie et de ...
La fleur des Alpes disait au coquillage : « tu… Le coquillage disait à la mer : «… La mer disait au bateau : « tu tre… Le bateau disait au feu : « tu bri…
A force d’aimer, je me suis perdu… Et quel océan ! Une tempête de rires et de larmes. Si vous montez sur un navire ayez… Mais que dis-je ?