Ici l’inquiète voix consent d’aimer
La pierre simple.
Les dalles que le temps asservit et délivre.
L’olivier dont la force a goût de sèche pierre
Le pas dans son vrai lieu.
L’inquiète voix
Heureuse sous les roches du silence,
Et l’infini, l’indéfini répons
Des sonnailles, rivage ou mort.
De nul effroi
Était ton gouffre clair,
Delphes du second jour.