#ÉcrivainsFrançais
Glisse la barque étroite aux deux… Qui respirent l’un près de l’autre… De rien, dans l’immobilité, qu’un… À l’aube le courant va plus rapide… La barre qu’on n’entend pas de nui…
L’enfant semblait errer au sommet… On ne comprenait pas son corps, en… D’un feu, d’une fumée, que la lumi… Trouait d’un coup, parfois, comme… Il montait, descendait un peu, il…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Écoute, il ne faut plus ces mains… Comme éternellement l’écume et le… Et même plus ces yeux qui se tourn… Aimant mieux le sommeil encore par… Il ne faut plus tenter d’unir voix…
C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Et maintenant tu es Douve dans la… Une salamandre fuit sur le mur. S… « J’aime m’aveugler, me livrer à l… Toute une nuit je t’ai rêvée ligne… Éprouvant sous mes doigts le débat…
Il y a qu’une épée était engagée Dans la masse de pierre. La garde était rouillée, l’antique… Avait rougi le flanc de la pierre… Et tu savais qu’il te fallait sais…
Tu écoutes la chaîne heurter la pa… Quand le seau descend dans le puit… Parfois l’étoile du soir, celle qu… Parfois le feu sans rayons qui att… Que le berger et les bêtes sortent…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…
Quelle maison veux-tu dresser pour… Quelle écriture noire quand vient… J’ai reculé longtemps devant tes s… Tu m’as chassée de toute densité. Mais voici que la nuit incessante…
La branche– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a…