#ÉcrivainsFrançais
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Mais nous aimons ces puits qui vei… Car nous nous demandons qui vient… Dans les herbes barrées de ronces,… Par ces sortes de dômes que font l… Au-dessus des buissons, là où comm…
Vous qui vous êtes effacés sur son… Qui avez refermé sur elle vos chem… Impassibles garants que Douve même morte Sera lumière encore n’étant rien.
Un dernier cerf se perdant Parmi les arbres, Le sable retentira Du pas d’obscurs arrivants. Dans la maison traversée
Regarde-les là-bas, à ce carrefour… Qui semblent hésiter puis qui repa… L’enfant court devant eux, ils ont… En de grandes brassées pour les qu… Ces fleurs d’à travers champs qui…
La branche– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a…
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Que l’oiseau se déchire en sables,… Qu’il soit, haut dans son ciel de… Mais lui. le naufragé de la voûte… Pleurant déjà tombait clans l’argi… L’oiseau m’a appelé, je suis venu,
D’une branche neigeuse à l’autre,… Qui ont passé sans qu’aucun vent n… Se font des éparpillements de la l… À des moments, comme nous avançons… Et cette poudre ne retombe qu’infi…
C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…
L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…
Le jour se penche sur le fleuve du… Il cherche à ressaisir Les armes tôt perdues, Les joyaux de la mon enfaniine pro… Il n’ose pas savoir
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
Le soir, Ges oiseaux qui se parlent, indéfi… Qui se mordent, lumière. La main qui a bougé sur le flanc d… Nous sommes immobiles depuis longt…